Vingt deux deux cent soixante six (23/267)
(un billet/jour c’est assez difficile à tenir) (quand on bosse, c’est encore plus compliqué) (mais même : prends mon cas par exemple, je bosse, je fais un montage de l’entretien de l’ami libraire, je fait un billet maison(s)témoin, je fais des courses, mais pas trop le ménage, je fais mon possible) (c’est une chanson idiote – ça existe et c’est pas rare – y’en a un qui lui dit « qu’est-ce que tu fais dans la vie ? » et elle qui répond « j’fais mon possible », ça continue par « prends-tu d’l’eau dans ton wisky ? » et elle « non jle prends se-eeec » enfin tu vois le genre) (Canada quelque chose hein) je suis allé regarder un peu dans le disque dur, les photos que je voulais poser ici en carnet de voyage(s), celles qui me restent-un paquet- du séjour magnifique à Cava d’Aliga (ça se trouve en Sicile, pointe sud est) et j’ai trouvé ça
c’est dans les Pouilles, à Trani (une merveille, mais y’en a partout, des merveilles) (y’a même les merveilles du monde qui se taisent, un silence assourdissant : j’ai fait une lettre quand même) (je suis allé voir sur la carte ça donne ça
la météo c’est plus ce que c’était) (la chanson trotte dans la tête, tu sais c’est la fille blonde, voix six octaves, Diane Dufresne peut-être bien, ça s’appelle « j’ai rencontré l’homme de ma vie » voilà tout) (du même tonneau que Joe Dassin, le fils à Jules et mais pas à Mélina, qu’est mort à Papeete, son petit battant s’est arrêté il avait pas quarante ans) (ou alors à peine) (ça faisait « tu ne me trompes pas, va/avec ton cinéma eheh/ta robe et tes chaussures/de la couleur de ta voiture » t’avoueras que quand même…)
Après, comme j’aime m’amuser mais que je n’aime pas les erreurs, j’ai remarqué que je n’étais qu’au niveau de la rue : il y a une sorte de promontoire qui va à la cathédrale qui est là, à gauche et merveille des merveille voici ce que propose ce robot
bon allez roulez jeunesse il serait préférable de s’y trouver…
MERCI
(mais moi honte, fais rien… bon j’ai pas mal fait, vous savez en courant le courant, et en prenant pauses nocturnes pour livres et musique.. là fais plus je rêve, et vais rêver devant l’ouverture de bleu dans bleu sous bleu bien surligné de blanc
Vous savez que dans ma jeunesse je les ai vus (et écoutés – là je ne sais plus trop s’il faut l’s comme je vais mettre un infinitif derrière ça change peut-être quelque chose à l’accord – chanter, ravie) l’une comme l’autre à l’Olympia ?
@L’Employée aux écritures : Ah non, Employée, j’ignorai cet aspect (important) de votre biographie : sans doute étiez-vous chaperonnée par l’une de vos soeurs (ravie, oui, ça, à l’Olympia, à dix piges, je vous envie) (et qui d’autre ? Bécaud ? Sheila ? Qui, dites…)
Bécaud, oui, une fois (nous aimions beaucoup, avec mes soeurs en effet, ses Tantes Jeannes, ses Dimanches à Orly, ses Jour où la pluie viendra et sa Nathalie) ; Sheila : n’éxagérez pas tout de même !!!
@l’Employée aux écritures (et à l’Olympia Bruno Coquatrix) : Merci de la réponse… 100 000 (cent mille !!!) volts et cravate à pois… vous avez du casser des fauteuils, vous…