Un deux onze deux cent quarante cinq six
(comme il faut travailler, bien que les choses résistent, je travaille) (images retrouvées du voyage précédent)
je fais juste attention de ne pas tomber, mais je suis paumé perdu (à travers la vitre, en passant)
(celle-ci est mieux peut-être) en dvd « Le fanfaron » (Dino Risi, 1962) et « A travers les oliviers » (Abbas Kiarostami, 1995), deux merveilles et en salle « Moi Daniel Blake » (Ken Loach, 2016) (juste la classe) (magnifique : aux pauvres, il ne leur reste que le corps)
(j’en suis à la saisie et je n’en ai pas terminé tout de suite) je fatigue à nouveau terriblement (personne ne force à allumer le poste mais je l’ai fait, écouté la daube étazunienne, changé de poste – q pour inter – le même reportage la même saleté la même boue, l’autre abject et son « usine à informations » complètement pourrie à sa propre cause, on éteint)
je fais dans le bucolique, il reste le cinéma, la radio (à faire, en retard, difficile et ardu), acheté un pull, des amortisseurs, et le mauvais temps qui est de retour (beau mais mauvais) (j’ai froid) (à cette heure-ci, l’éboueur en moto arrive)
reste la musique
(et le sourire de Ken Loach)
La radio, on peut aider, peut-être ?
(Bisous)
tant qu’il y aura des paysages (non privatisés)…