Treize dix 227

de toute les manières c’est une horreur (entendu dire que le type arrêté en Allemagne  – gros soupçons contre lui – s’était pendu dans sa cellule malgré une surveillance toutes les heures, de même que l’autre se fait mutique parce qu’il l’est, justement, surveillé minutes par minutes) (le nouveau PC déconne à plein, travaille dans son coin, fait un bruit creux quand on saisit, mises à jour en série, ouverture intempestive, plein le dos) le reste du monde, pas envie non plus, ici une capture d’écran avec le tél d’une vue du robot, la construction beauvau

il y en avait une du même tonneau coin fontaine au roi/moulin joli, quoi que là ce ne soit pas si moche tu me diras -travaux dans la rue, passer à la bibli toute simple petite agréable – déj chez happy nouilles avec A. qui viendra s’installer, avec sa soeur quand elle sera là – la maison fessart :

vu le film des deux Dardenne hier soir (salle de 400 places, cent spectateurs peut-être) (« La fille, inconnue », Jean Pierre et Luc Dardenne, 2016) le rôle principal tenu par Adèle Haenel (qu’on avait vue dans « Les Ogres », sympathique film, vivant, déjanté) alias Jenny Davin médecin généraliste dans tous les plans, pas une note de musique (enfin si, une chanson au début offerte par un de ses patients mais ce sera tout), aride et juste comme d’habitude, un cinéma spécial (faut aimer : j’aime assez) (c’est un genre le film d’actrice, et elle y est bien) (un peu comme celui avec Cécile de France – « Le gamin au vélo », 2011- , et l’autre avec Marion Cotillard – « Deux jours une nuit« , 2014 – sans compter « Rosetta » (1999) en Emilie Dequenne) (j’entame la série des  chaussures palier)