Soixante deux
(je ne sais pas où en est cette manifestation – il est dix huit heures trente ce dimanche soixante deux mars – mais j’ai pu constater qu’elle était complètement pourrie par ce qu’on a coutume -enfin, ce « on » là suivez mon regard, et passez de celui qui occupait le poste début des années 60 (soit papon) puis un de ses afficionados (poniatowski) sans compter (que la paix repose sur son âme enpernodisée) celui qui a couvert les exactions des tueurs en moto (pasqua) (les trois p comme on voit : la même idée de la violence légitime les anime ainsi que celui d’aujourd’hui : on voit de qui il s’agit) -coutume d’intituler donc, les forces de l’ordre, présentes à tous les carrefours et intimidant tous les pékins qui auraient l’outrecuidance de vouloir se joindre à cette marche du travail (une honte et un déni de la loi)
(selfie à l’autocollant)
et donc, à Paris, de Bastille à Nation (mais je ne suis pas sûr que le cortège ait pu aller jusque cette dernière place) en passant par l’avenue Daumesnil, cet après-midi défilé du premier mai (ce matin, deux brins de muguet à deux euros cinquante) et revenus hier soir en après midi du bricolage de campagne où une apparition de tangram s’est découverte sur le ciment du garage