Soixante sept (six six seize)

(c’est une discipline qui commence à me faire braire, ce journal) (ça fait un moment que ça dure mais je fatigue : il y a comme quelque chose qui empêche de faire autre chose, genre sur le bureau, oublier paris et tour du monde (d’ailleurs ils sont à phoenix arizona, ils vont rejoindre kansas city puis new york, me font braire avec leur site à lak)

(hier soir Paris gare de l’est)

et donc on fait son billet, il fait un peu gris on va au ciné (hier soir c’était cette merveille « Land and freedom » (Ken Loach, 1995), lui c’est un de mes préférés) (il y a aussi Sir Alfred, et comme tous les deux sont roastbeef, on voit que je ne serais jamais anglophobe)

un cliché de la salle 500 de l’officine

(y’a pléthore de films magnifiques, dans cette officine de la municipalité et pour cette manifestation en l’honneur du front popu) (on a vu le nouveau forum qui en impose quand même) (j’ai l’impression que ce toit est à géométrie variable) (de nuit c’est juste beau : le fait que ce soit un temple érigé à la consommation fait une peine infinie et on n’a qu’une envie c’est s’en aller et là, qu’est-ce qu’on trouve ? un commissariat -foutre) (en revanche pour « Le fils de Joseph » (Eugène Green, 2016) l’erreur était grossière, patente et abyssale (on peut aussi se tromper, parfois (ce type-il joue le rôle du concierge-se permet de faire des plans de coupe dans une scène de chant magnifique – la seule à sauver du film d’ailleurs- et rien que pour ça, on a envie de lui foutre sur la gueule) : c’est ça qui est beau au cinéma – 7 euros pour voir ça jt’en parle même pas)

(trouvé ça sur le palier…)