Pendant le weekend

Cinq et cinq et seize (Soixante six)

 

 

(le dégoût de voir les saloperies réalisées par cette présidente de région, ces envies de vomir, l’ignoble filiation qu’elle a avec le minuscule aux talonnettes et la fille du borgne, c’est à ne pas croire : et pourtant c’est là; c’est là comme sont là les agissements de ce gouvernement -vingt deux heures couvre feu :à quand la pacification ?) rien à faire, l’internet s’est refusé à me donner ma musique (j’ai perdu toute ma musique, tu vois, comme toutes mes affaires c’est l’été qui commence, je vais aller acheter deux vestes et des chemises, et je hais le ciel et la terre) (je suis fatigué, ça ne change pas, j’ai pas de photo, j’ai pas de musique, ma Peggy se trouve sans musique, j’ai repéré le chemin du retour, mais elle n’est plus elle-même) (je lis, tant pis)

poésie 3 général

ici un poèmissu du poégéo (ce serait mieux intitulé poégoo mais enfin) (c)JoachimSéné,  je mets Ella (Fitzgerald) et Louis (Armstrong) « Dream a little dream of me« , tant pis, « star shining bright above you« , je pleure, tant pis, je laisse faire le temps) (« take it, Ella, swing it« )

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