Pendant le weekend

Cinquante cinq cinquante six

 

 

(il faut quand même que je bosse, donc j’y vais -hier des belges comme toujours adorables d’une gentillesse -ne pas généraliser mais enfin – puis d’autres et d’autres encore) (pendant ce temps-là – je prépare un billet allez- l’avion solaire (si on veut, on peut acheter une cellule photovoltaïque qui lui fournit son énergie -il y en a dans les seize mille, je ne sais plus, je retrouverai mais dans le genre mille euros pièce, ça va se bousculer au portillon -comme on disait dans le temps)  (y’a plus de portillon) pendant ce temps-là l’avion se pose sur un aéroport militaire du côté de Saint François juste à côté de Palo-Alto)

pearl harbor 7(là, c’est le port de la Perle, à Hawaï, d’où il s’est envolé jeudi dernier)

hier soir au ciné, « La passion des femmes » (je n’ai pas cherché le titre original, je manque à certains de mes devoirs) (Leena Yadav, 2016) une merveille dramatique et tragique de deux heures, à ne pas hésiter à aller voir (encore que ce type d’injonction aurait tendance, pour ma part, à me faire fuir) (un peu comme ce que j’ai entendu -lu plutôt- de la part de la libraire de Nantes – sa librairie « La vie devant soi » c’est quelque chose mais là n’est pas le propos – au sujet de cette chaîne à péage -style d’ordure télévisuelle (lapalissade ?) : pour preuve- qui programme semble-t-il une émission titrée « vingt et un centimètres » sur la lecture ? rocco sifredi en rit-il ? pornographie et vulgarité à tous les étages : on avait la chaîne de maçon, on a la chaîne de milliardaire…) (rien que d’en parler salit) (mais n’en rien dire aussi) on met quelques fleurs histoires d’amoindrir la peine

en fleurs

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2 Comments

    il y a aussi la gentillesse des belges et ce film
    cueillons

  • tant qu’il y aura des prunus…