Onze douze deux seize
hier c’était le deuxième séance d’atelier résidence (faut pas que je traîne, j’ai un billet à faire : la matinée passée à fourbir les photos tu parles d’une affaire) et j’ai été frappé par l’unanimité (ou l’inanité, je ne sais ) des passe-temps des enfants – ils ont douze treize ans – jeu vidéo, point. Un lecture de manga. Tu me diras ce sont des garçons, c’est normal c’est l’âge etc… Oui, d’accord.
Une sorte de glace qui m’a fondu dessus (j’ai fait ce que je devais, certes, mais à présent, j’ai froid) (demain on annule la déambulation vu qu’il va pleuvoir) (prévoir une « résidence »en automne hiver c’est aussi d’un goût assez douteux) (en tout cas je m’en fous, je continue, je cherche et je vais trouver)
(je pose ici la photo d’Olivier Hodasava, invité de notre festival -23 janvier 16- qui lit le passage de la frontière de son « Janine » qui vient de sortir chez inculte) (y’a François Bon qui en parle dans sa vidéo style service de presse number 3) (je m’en suis allé travailler)