Vingt un seize
1. Une chance dans la bibliothèque d’ici (un éditeur à Nonville, ça se recherche) (livre de 77 édité dans le 77 ça ne s’invente pas) (sans compter cette collection intitulée « Le Rappel au désordre » dirigée par ce monsieur Hache -et qu’on dédie donc à l’amie Maryse)
2.Une autre chance (mais à contre-jour : ces animaux -contrairement à nos stars favorites – (voir plus bas) ne savent pas capter la lumière) (mais l’attention, si) : portrait bis de Luna (il semble que ce soit devenue une sorte de mascotte de L’aiR Nu dont c’est le festival, ce samedi 23 janvier, en la bibliothèque de Veneux-les Sablons, venez nombreux… entrée libre à partir de 17 heures…!!) (en tout cas, elle grandit) (Luna)
3. Un passage vers Popincourt, à n’en pas douter (ce matin déposer une lettre à la mairie sollicitant un rendez-vous avec mon maire)
et
4. Cadeau suprême rapporté des îles unies du royaume perfide de l’Albion (qui comme on sait (?) est frère d’Atlas) une effigie de sa très gracieuse majesté en bleu de travail, semble-t-il (car ne sont-ce pas chrysanthèmes qu’elle porte en ses augustes bras ?)
(peut-être pas mais elle, je l’adore alors mille mercis…!)
Ton livre « Histoire désinvolte du surréalisme » a été réédité aux Éditions de l’Instant en 1988 (je l’ai sous la main).
Il est sûr que le nom de l’auteur est un pseudo (Jules-François Dupuis… et pourquoi pas Bernard-Jean Durand ?) et je peux t’assurer que je sais qui en est l’auteur véritable…
Ceci dit, belle photo de la plaque « Passage de l’asile » (Artaud aurait pu apprécier)…
Voici le lien précis donnant également l’origine du nom Jules-François Dupuis)… 🙂
@Dominique Hasselmann : merci pour ces précisions fort intéressantes…