Un douze quinze

(plusieurs pistes ici sont à l’oeuvre : les dates en lettres, les illustrations, les événements, les disparitions (que Luc Bondy soit ici salué, qu’erre en paix son âme), les merveilles du monde (je ne l’aime pas celle-là, je n’aime pas le cynisme non plus que l’hypocrisie : je me bats) ainsi que celle de la mémoire : attaquons ce pan par cette magnifique effigie)

(hier cherchant un colifichet cosmétique pour l’anniversaire de A. sur cette boîte de (?) gâteaux : voici une souveraine qui, déjà, régnait sur sa perfide surface terrestre quand je suis, sur ce monde, apparu – tu avoueras que ça fait un genre de bail quand même- toujours présente aujourd’hui, c’est à sa disparition que le monde – et le Commonwealth, et la culture anglo-saxonne, la famille Windsor –antériorité diverse– et tout le bataclan verra un changement au minimum symbolique…) (années soixante : feuilles de papier rêche et noir, collage de photos de ces altesses (àlak) légendes écrites à la plume encre dorée ou blanche… souvenirs, souvenirs – et tout ça qui brille de mille feux)