Atelier d’écriture Pierre Ménard
Ce samedi, champagne !
La dernière séance d’écriture en atelier de Pierre Ménard, liaison avec sa résidence à la librairie Litote en Tête, laquelle résidence est relayée par Mélico, tout ce réseau d’entente et d’amitié s’est trouvé rassemblé à l’espace Chateau-Landon.
Nous étions une quinzaine, une assiduité féconde et des liens entre les écrivants qui se nouent, des liens assez doux (certains sont là en couple…), des liens d’affinités, ou simplement de présence.
Cette expérience a été la première de ce type pour moi : on y apprend la lecture à haute voix, l’écriture à contrainte, l’absence de jugement de celui qui propose, mais la présence d’un tel jugement de la part des participants. Parfois. Ce n’est pas désagréable.
Pour moi, ce qui l’est, c’est cette lecture à haute voix, où il me semble, à chacune de ces lectures ça a été le cas, que je n’arriverais jamais au bout, l’émotion ou l’affect me prenant tout à coup, alors que je découvre ce que je viens d’écrire et les échos qui se trouvent en moi de ces mots écrits pour répondre à la commande. J’en suis tout de même à chaque fois venu à bout.
Certes, à chacune de ces intentions, à chacun de ces textes, je pose, d’abord, les souvenirs de ma famille : sans doute voir là quelque chose comme de l’autobiographie (en même temps, ces cases, ces catégories et ces genres nous ennuient profondément-je dis « nous » pour ceux qui partagent avec moi cette idée).
En tout cas, il y avait là des fleurs (des fruits et des roses, et puis voici mon coeur qui ne bat que pour vous… ah le poète), des sortes d’amitié, des personnes enfin qui, de leurs mains, avec un ordinateur, ont laissé sur place des textes qui parlent d’eux.
Je pense que Pierre Ménard les posera bientôt sur son site (c’est fait…).
Qu’il soit ici remercié pour son écoute, sa gentillesse accorte et tout le travail en aval en amont et ailleurs encore qu’il fournit pour… pour quoi, au juste, hein, Pierre ?
A sans doute une prochaine fois, à tous, disons.
Tout en délicatesse, cette dernière évocation de l’atelier, merci Piero… Et on ne t’a même pas vu faire les photos !
Tout en délicatesse, cette évocation du dernier atelier, merci Piero… On ne t’a même pas vu prendre les photos, du reste ! (j’aime beaucoup que tu aies pris mon carnet rouge, acheté à Gênes un été)
(non je ne me répète pas, les coms buguent !) (c’est la journée)
c’est merveilleux – je crois que ça passe assez bien (ou nous l’imaginons) pour les étrangers à l’atelier
Ahhh! ça donne envie de participer. merci. 🙂
[…] avec sa femme, les rires oui, peut-être, je ne sais plus bien exactement, alors j’avais à penser à autre chose, il y a trois ans, j’avais mélico à faire avancer (je le reprends mais dans un autre cadre, […]