Beaubourg bibliothèque
Evidemment il faut travailler.
Je me disais en regardant en désordre, fatalement, le site (magnifique) de Philippe de Jonckheere (notamment le panoramique 360 du pic Cassini Mont Lozère) qu’après tout, tout ça, ce sont des métiers.
Alors on a l’impression de pouvoir faire quelque chose en ne sachant rien : par exemple, je retranscris des entretiens qui datent de quelques mois avec des femmes formidables (Monique Nemer, Michèle Gazier et Marie-Claude Char, pour mélico) mais les sons, j’en fais quoi ? Je les remets en place, je regarde, je relis, je me demande, je les écoute, il faut que je les monte, mais je fais comment les raccords ? Et la musique, on ne met pas de musique ? Pourquoi pas aussi des images ? Pourquoi pas ?…Des métiers, voilà, pourquoi non..
J’ai demandé à Pierre Ménard, qui m’a fort gentiment renseigné, quel logiciel de traitement de sons il employait; il m’en a montré le fonctionnement (encore merci…!) mais je dois me l’approprier (audacity, très simple sans doute mais et le temps ?)… Parfois, surtout quand le temps est mauvais, j’en ai marre…
Je me souviens de Rome
dedicated to Philippe Diaz (courtesy mc©)
évidemment, de Lisbonne très certainement
d’autant que vendredi prochain, « pendant le week-end » vase communique avec Ana nb du Jardin sauvage mais le boulot ?
Je suis allé voir la bibliothèque publique d’information, pour information.
l’entrée, 15 heures le samedi 28 août 2010
J’y ai pris quelques photographies, les voici, elles illustreront sans doute ma réponse.
Pourquoi faire ?
C’est un métier.
Les choses changent, je m’adapte, c’est un métier :
je réponds électroniquement ?
Je ne sais pas, je suis allé simplement voir.
Je vais voir.
mais c’est un lieu unique (comme on dit à Nantes).
Unique ? surtout votre regard, non ? Désabusé, mélancolique et élégant.
Un endroit qui accueille quiconque, enseigne langues et techniques dans un luxe confortable et discret, avec des personnes à l’écoute, situé au centre de Paris, à la juste proximité du musée d’art moderne : c’est quand même unique, Elise… Merci d’être passée.